Pour les ASBL : Allegro et le Cloud est LA solution
Christophe, comment avez-vous intégré le cloud dans votre pratique comptable ?
« En juillet dernier, une nouvelle fédération d’Art martial s’est créée. Avec une expertise comptable de plus de 20 ans, on m’a tout naturellement demandé d’en devenir le Trésorier. Mais le grand défi, c’était surtout de trouver un logiciel qui nous permette de gérer l’activité de ces 15 clubs, regroupant 250 membres, fédérés au sein d’une asbl. Une petite structure ne peut évidemment pas s’investir trop dans une gestion administrative, ni financer un support technique trop onéreux. Alors que malgré tout, il faut être performant et efficace. Avec Allegro dans le cloud, on a trouvé la solution idéale ».
En pratique, comment ça se passe, une telle gestion ?
« La principale difficulté à laquelle nous étions initialement confrontés, était la mixité du parc informatique. On s’adresse à des clubs avec des profils tous différents. Et il fallait absolument pouvoir partager les informations, de façon sûre et harmonieuse, entre des utilisateurs Windows et Mac. Le cloud nous permet de gérer tout ça. C’est de loin l’outil le plus convaincant ».
Vous ne procédiez pas ainsi, avant d’intégrer le cloud. Comment s’est passée la découverte?
« C’est facile et très intuitif. Pendant la phase de testing, beaucoup de zones étaient disponibles ou activées, notamment d’un point de vue de la comptabilité analytique. On avait la possibilité de faire ses propres paramétrages. Quand on a ensuite demandé la licence d’utilisation Allegro, on a même pu conserver les dossiers créés. Le backup est sûr, et le captage de données est extrêmement sécurisant. Avec le cloud, on peut vraiment gérer, à distance, tous les éléments dont a besoin. C’est indispensable pour une fédération qui compte des centaines de membres disséminés. En plus, les menus sont très conviviaux. S’il existe d’autres solutions, le cloud computing, c’est en tout cas le meilleur mix
Les entreprises ont souvent dépendu de leurs directions informatiques pour réussir la mise en place de services et de projets. Avec le cloud, l’équilibre se rétablit…
Le cloud a permis en entreprise de lever certaines contraintes techniques, qui étaient généralement la chasse gardée des directions informatiques. Le SaaS – la disponibilité des outils et logiciels dans le cloud via le navigateur Internet – présente une prise en main plus directe par les directions métiers, puisque la configuration est directement assurée par l’éditeur.
Mais que deviennent alors les départements informatiques ? Déchargés de certaines tâches (installation, configuration et maintenance des logiciels), ils travaillent désormais plus directement avec les éditeurs pour l’implémentation des solutions sur les serveurs informatiques. Ils gardent la main sur les systèmes et les réseaux, s’assurant de la sécurisation des données sensibles et confidentielles de l’entreprise sur les nuages des éditeurs tiers, via des contrôles et des audits, mais aussi la négociation des coûts.
Un nouveau trio s’installe donc au sein des réseaux d’information de l’entreprise : l’IT, le fournisseur cloud et… les ressources humaines, en relation de plus en plus proche avec les lignes de métiers.